Le risque est dépendant d’un certain nombre de facteurs, qui ne sont pas nécessairement liés à l’âge. Il faut notamment considérer :
- un antécédent personnel de fracture par fragilité
- une prise de corticoïdes par voie systémique (≥7,5 mg/jour d’équivalent prednisone pendant au moins trois mois)
- un antécédent de fracture de l’extrémité supérieure du fémur chez son père ou sa mère
- la maigreur (un indice de masse corporelle inférieur à 19 kg/m2)
- une ménopause précoce c’est-à-dire survenue avant 40 ans
- le mode de vie : le tabagisme, l’alcoolisme, l’inactivité physique
- une baisse de l’acuité visuelle
- des troubles neuromusculaires et orthopédiques